Bienvenue sur le Blog des Comptines de Mapie SERGENT

Parents, Enfants,
Merci, de faire une halte sur le blog de Mapie. J'espère que vous aimerez lire et raconter mes histoires. Histoires, qui pour moi doivent être juste lues avant que nos petits fassent de beaux rêves..... Alors juste avant une bonne nuit.... Faites de doux rêves.....
Affichage des articles dont le libellé est Contes pour enfants. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Contes pour enfants. Afficher tous les articles

mardi 19 juillet 2011

JD, le vieux jardinier et Le Petit Champignon des Bois

Le Champignon des Bois

Il était une fois, un petit champignon,
Il est vraiment tout mignon.
Pas trop mince, pas trop gros,
Son pied n’est pas très haut.
Quant à son chapeau ! Quel beau chapeau !
Il est large, élégant, très beau.
Il est d’une superbe couleur d’automne,
Une couleur pas du tout monotone.



Le petit champignon n’a jamais froid.
Il aime se promener fièrement dans les bois.
Sous les arbres, les feuilles et la mousse humide,
Il n'est pas réellement timide
Mais aime faire un pied de nez aux cueilleurs,
Qui ne trouve pas leur bonheur.
Ce n’est pas facile,
D’être une petit champignon habile.


Je vous donne rendez-vous pour la suite, les enfants....

Mapie SERGENT

lundi 18 juillet 2011

BIBILI, LA PETITE BOUTEILLE DE LAIT

LA RENCONTRE

Bonsoir parents, enfants,
Nous sommes à la porte des vacances, alors j'ai pensé que des petites histoires pourraient faire plaisir à nos petits.

Il était une fois un garçonnet, tout petit, tout mignon, tout blond aux yeux clairs. Il a 6 ans à peine. Ce petit garcçon vit avec son papa et sa maman, dans une petite maison située à l'orée d'une grande ville du sud de la France. Ce petit bonhomme s'appelle Rodolphe, mais tous ses copains et copines le surnomme ROD.


ROD est un gentil petit garçon. Il écoute bien son papa et sa maman. Il n'y a que les matins ou il se montre boudeur. En effet, au petit déjeuner bien qu'il mange tout ce que sa maman lui prépare : crêpes, tartines de confiture, céréales, jus de fruit, il ne veut pas boire de boisson lactée. Car, ROD n'aime pas le lait, au grand désespoir de sa maman, qui ne conçoit pas un bon petit déjeuner sans laitage.


Tous les mercredis matins, ROD et sa maman se rendent dans un super-marché, pour faire des courses. Le petit garçon est bien installé sur le petit fauteuil du chariot, destiné aux enfants. La maman de ROD commence le remplir d'articles habituels. Elle s'applique à choisir des produits pour le petit déjeuner. Pour elle, c'est un des repas essentiel de la journée. Elle se dirige maintenant vers le rayon des laitages. Ainsi, elle espère trouver de nouveaux produits laitiers, que son petit garçon pourrait apprécier.


Quant à ROD, bien installé, sur son petit fauteuil, il regarde autour de lui. Il prend un petit air dédaigneux devant tous ces laitages. Il est un peu plus écoeuré lorsqu'il aperçoit une petite bouteille de lait bien abîmée. L'étiquette est déchirée, le plastique blanc porte plusieurs coups. ROD aurait tellement préféré se trouver au rayon friandises, au milieu de paquets de bonbons de toutes les couleurs.


Brusquement au milieu de ses pensées gourmandes, il entend "Psitt... Psitt...". ROD tourne la tête à droite, à gauche pour savoir d'où vient cet appel. De nouveau, son regard se pose sur la vilaine petite bouteille de lait. Elle se dandine, se balance... Le garçonnet se dit qu'elle va finir par tomber.
- Ah ! Enfin, tu me remarques ! S'exclame la bouteille de lait.
ROD très surpris se demande, s'il n'est pas entrain de rêver. Mais la petite bouteille de lait qui semble lire dans les pensées du garçonnet, continue :
- Non, non, tu ne rêves pas ! Je m'adresse bien à toi ROD et c'est bien moi BIBILI, la petite bouteille de lait, qui te parle. Je suis magique et il n'y a que toi qui peut m'entendre. Tu sais, je te connais très bien.
- Ah ! s'exclame toujours très étonné ROD.
- Oui, je sais que tu n'aimes pas le lait et que tu désespères ta maman.


Une dernière fois ROD, jette un regard autour de lui. En effet, personne ne semble avoir entendu la discussion entre ROD et BIBILI. Sans qu'il ne se rende compte, le garçonnet murmure "Bibili".
- Oui, c'est moi ! Répond la petite bouteille de lait
- Tu es très abîmée, dit ROD.
- Je sais. J'ai été mal menée pendant le voyage. Mais, écoute ! J'ai une proposition à te faire. Emmène-moi avec toi ! Demande à ta maman de m'acheter. Tu ne le regretteras pas. N'oublie pas que je suis magique. Conclue BIBILI.
- Ma maman ne voudra pas. Elle sait que je n'aime pas le lait. Rétorque le garcçonnet.
- Oui, mais il faut lui dire que tu as changé d'avis et que tu vas me boire.
- Mais non !... Puisque, je te dis que je n'aime pas le lait. Répète ROD.
- Je te demande de me faire confiance. Insiste BIBILI.
Rod n'a retenu qu'une chose, c'est que BIBILI est une bouteille magique et pour cela il est prêt à persuader sa maman de prendre BIBILI.


LE RETOUR A LA MAISON

Rod ne comprend pas trop les intentions de BIBILI. Mais, il pense avant tout que c'est une bouteille magique. Pour cela, il est prêt à persuader sa maman à acheter BIBILI. La petite bouteille de lait qui est très bavarde continue :
- Si tu ne me prends pas avec toi, dès ce soir le magasin se débarassera de moi car comme tu l'as dit, je ne suis pas belle et je n'attire pas le client.
D'un seul coup, le petit garçon a de la peine pour BIBILI. Il appelle sa maman. Il lui demande d'acheter BIBILI. Elle ne comprend pas puisque son fils n'aime pas le lait. Rod insiste tellement qu'elle fini par céder. Seulement, quitte à prendre une bouteille de lait, autant en prendre une, plus correcte. La maman de Rod tend la main vers une bouteille qui est la voisine de BIBILI. Le garçonnet l'arrête en s'écriant :
- Non, non maman ! Je veux cette bouteille, il pointe du doigt BIBILI.
- Pourquoi veux-tu la plus vilaine ? Interroge la maman, qui ne comprend vraiment pas son fils.
- Elle n'est pas si vilaine que cela ! Répond simplement le garçonnet.
La maman de ROD hausse les épaules, elle regarde tout de même si la date de préemption est bonne, c'est à dire si le lait de BIBILI est toujours bon à boire. C'est bon ! Elle pose BIBILI dans le chariot. Après tout, le plus important c'est que son petit garçon veuille boire du lait.



De retour à la maison, la maman de ROD se dépêche de ranger les courses. BIBILI est placée sur la porte du "frigo". ROD, qui aide sa maman n'a pas quitté du regard la petite bouteille de lait. Cette dernière semble lui faire un clin d'oeil. Avant que la porte du réfrigérateur ne se ferme, le garçonnet s'approche de BIBILI qui chuchote :
- Il faut que tu dises à ta maman, que tu aimerais me boire le soir après le repas et à la bouteille.
- Elle ne voudra jamais. Dit ROD.
- Ta maman ne veut qu'une chose c'est que tu boives du lait. Alors, je suis certaine qu'elle ne verra aucune objection. Conclue BIBILI.
- Objection ? Répète le petit garçon qui ne connait pas le sens de ce mot.
- Pour faire simple, il n'y aura pas de problème. Je le sais c'est tout et puis n'oublie pas je suis magique. Conclue BIBILI.
- Et toi, n'oublie pas que je n'aime pas le lait. Continue ROD, sur un ton sec. Puis la maman ferme la porte du "frigo".

 

Le mercredi après-midi passe rapidement. Dans un parc de la ville, ROD s'amuse avec ses camarades, sous la surveillance de plusieurs mamans. Souvent, il pense à BIBILI. Il aimerait parler de la petite bouteille de lait à ses amis, mais qui pourrait croire à son histoire ? Même ROD doute, il se demande s'il n'a pas rêvé ?!...





Enfin, le soir arrive ! Après un bon bain, ROD avale son dîner avec rapidité.
- Eh bien ! Dis-moi, tes jeux du mercredi te donnent un sacré apétit ! S'exclame le papa de ROD.
- En effet, confirme la maman. Bon, mais demain, il y a l'école. Il faut aller te coucher.
ROD n'a qu'une hâte c'est de retrouver BIBILI. Il espère que sa maman voudra bien remplacer son verre d'eau de la nuit, par BIBILI.
- Maman, j'aimerais bien que tu m'apportes la bouteille de lait, au lieu de mon verre d'eau. Dit-il un peu inquiet.
- Tu veux dire un verre de lait ? Interroge la maman.
- Non, je crois que j'aimerais mieux le lait, si je le bois à la bouteille. Dit-il doucement.
- ROD, tu sais que je n'aime pas cela et ce n'est pas propre. Explique-t-elle.
- Ecoutes chérie ! Qu'est ce que cela peut faire ? Le plus important c'est que notre fiston ait envie de boire du lait. Non ? Questionne le papa.
- Bien, bien ! Capitule la maman. Mais avant je laverai la bouteille, car elle n'est pas très nette. Quant à toi, mon grand, il est temps d'aller te coucher. Lave-toi les dents et au lit. J'arrive avec ta bouteille de lait.
- Merci papa, merci maman.

 

ROD se précipite dans les escaliers. Il rentre dans la salle de bain pour se laver les dents et même s'il est pressé de retrouver BIBILI. Il s'applique à nettoyer ses dents, car il sait que c'est très important.
Enfin, le voilà installé dans son lit, sa maman arrive et pose BIBILI sur une petite table de nuit. Puis, elle borde son petit garçon et l'embrasse tendrement. Elle laisse toujours une petite veilleuse qu'elle viendra éteindre plus tard, lorsque ROD dormira.
- Bonne nuit, mon grand. Dit-elle en fermant la porte.

L'Histoire de BIBILI



Maintenant, Bibili et le garçonnet se retrouvent seuls. Rod s'assoit dans son lit, croise les bras et s'exclame sur un ton agacé :
- Alors maintenant que fait-on ? J'ai dit à maman que je boirai ton lait et je n'aime pas ça.
- Laisse-moi te raconter une histoire, répond calmement BIbili.
- Tu sais papa et maman ont essayé de me faire boire du lait en me racontant des histoires et cela n'a pas marché. Continue Rod sur ton ferme.
- Oh ! Je vois que j'ai à faire à une petit garçon têtu. Toutefois, l'histoire que je vais te raconter est une histoire vraie. Par contre, elle commence comme toutes les histoires, par : "Il était une fois...."


Bibili demande au garçonnet de s'installer confortablement dans son lit et de la prendre entre ses mains. Rod obéit, il est impatient. Bibili commence :
"Il était une fois, un petit garçon qui devait avoir ton âge. Comme toi, il n'appréciait pas le lait. Sa maman était aussi désespérée que la tienne. Elle baissa très vite les bras, trop découragée, elle abandonna l'idée de faire boire du lait à son petit garçon.
Ce petit bonhomme avait lui aussi des camarades. Eux, par contre n'avaient aucun problème pour avaler ce breuvage. Les années passèrent, le petit garçon avait du mal à grandir et il restait flué. Quant à ses amis, ils devenaient grands et forts. Ils étaient de vrais costauds. Lors de ses activités sportives, le garçonnet n'arrivait pas à rivaliser avec ses copains. Il était même la risée de toute la bande".


Bibili s'arrête, regarde Rod qui écoutait très attentivement. Puis, il demande impatient :
- Alors ?
- Ah ! Si tu veux savoir la suite, il faut que tu boives un peu de mon lait en fermant les yeux. Répond Bibili.
- Non, non et non ! Répond le petit garçon assez en colère.
- Tant pis pour toi ! Encore une fois, tu oublies mes pouvoirs.
Rod souffle et bougonne, mais sa curiosité l'emporte. Malgré tout, il appréhende et porte doucement  Bibili à ses lèvres.
- N'oublie pas de fermer les yeux. Insiste la bouteille de lait.

 
Rod ferme les yeux et commence à boire doucement. Tout à coup, surprise ! Il voit comme dans un petit film, le récit de Bibili. Brusquement, il s'aperçoit que le héros de l'histoire, c'est lui. Dès que Rod s'arrête de boire.... Heup ! Plus d'image ! Alors sans se faire prier, il continue à boire.
Rod se voit petit comme à présent. Puis, quelques années plus tard, adolescent. Il se voit maigre et fatigué. Ses copains, au contraire, sont plus grands que lui. Tous, se moquent de lui.
Rod cesse de boire, ouvre les yeux et regarde Bibili. Le petit garçon est triste, mais aussi inquiet. Toujours impatient, il demande :
- Comment se termine ton histoire ?
Bibili toujours dans les mains de Rod, voit bien que le garçonnet est soucieux.
- MON histoire, je crois que c'est plutôt TON histoire. Avant, que je continue, je voudrais savoir, comment tu te sens depuis que tu as bu mon lait ? Es-tu toujours écoeuré ? Questionne Bibili.
Rod s'aperçoit qu'il a avalé la boisson sans difficultté et que ma foi, il faut bien l'avouer, le lait ce n'est pas si mauvais que cela. Un peu vexé de donner raison à Bibili, il hausse les épaules et surtout pressé de connaître la suite de SON histoire, il répond :
- Non, je ne suis pas écoeuré et oui, j'ai apprécié de te boire. Mais, c'est surtout parce que je veux voir les images de mon histoire. Explique avec franchise Rod.
- Je comprends bien, mais pour moi le principal, c'est que tu es pu m'avaler. dit Bibili.
- Oui, mais cela ne veut pas dire, que je vais toujours aimer le lait sans une histoire. Continue le petit garçon avec un air coquin.
- Nous en parlerons plus tard, mais tu veux bien, que je termine ton histoire ? Demande Bibili en souriant.
- Ben oui ! Je n'attends que ça. Répond le garçonnet très impatient.
- Alors, tu sais ce qu'il te reste à faire. Rétorque la bouteille de lait.
- Tu racontes et après je bois ? Interroge le garçonnet.
- Non, maintenant que tu bois du lait, tu commences par boire et après je te raconte.



Rod toujours très impatient et curieux, ferme ses paupière et avale le breuvage. Tout à coup, comme dans un vertige, il voit SON histoire, qui défile en marche arrière. A la fin du récit, il était resté un "ado" rachitique. Maintenant, le voilà de nouveau petit garçon. Il revit toute la journée de ce mercredi. Sa rencontre avec la petite bouteille de lait, son après-midi avec ses camarades, jusqu'à ce moment présent. Rod arrête de boire, il ouvre lentement les yeux, puis le coeur battant, il s'exclame :
- Ouf ! J'ai un peut la tête qui tourne. Tout est allé tellement vite !
Bibili à un léger sourire et dit, "Je continue".
"Maintenant le garçonnet bois du lait tous les soirs et même pendant la journée et cela pendant des années. Il devient un superbe jeune-homme fort et sportif. Il devient même capitaine d'une grande équipe de foot. Ses copains ont aussi une bouteille de lait dans leur sac de sport, sans savoir que celle de Rod est magique. C'est ainsi que se termine TON histoire".



Rod n'attend plus que Bibili lui demande de boire son lait. Il ferme les yeux et avale la boisson. Il se regarde entrain de grandir avec ses camardes. Cette fois-ci, son image de jeune-homme lui parait bien sympathique. Il en est même fier. Il se voit jouer au foot, sport qu'il adore. Il se voit dans le vestiaire d'un stade. Dans son sac de sport, il aperçoit Bibili, qui lui jette un clin d'oeil. Rod ouvre les yeux et sourit. Il est heureux !
Bibili demande au petit garçon de la poser sur la table de nuit et elle dit :
- A partir d'aujourd'hui, tu demanderas à ta maman de boire du lait tous les soirs et je serai là à tes côtés. J'en ai des histoires à te raconter.
- Mais lorsque tu seras vide, maman va te jeter et tes copines n'ont pas tes pouvoirs. Dit Rod.
- Certes ! Elles n'ont pas mes pouvoirs, mais moi j'en ai, c'est le privilège d'être magique. Alors ne t'inquiète pas. Je serais toujours à tes côtés. Tu l'as bien vu en écoutant TON histoire et en buvant mon lait. Rassure Bibili et elle continue :

 
- Maintenant, il est l'heure de dormir et de faire de beaux rêves. Rod acquiesce de la tête, il pose sa petite tête sur l'oreiller et s'endort. La petite bouteille de lait veille sur lui. Quant à la maman de Rod, quelle bonne surprise elle aura en voyant que sont petit garçon a bu du lait et voudra en boire encore et encore.....
FIN

L'alphabet ou le pays magique des lettres


Les enfants, je vous demande de me donner la main et de me suivre au pays magique des lettres. Elles nous attendent.
Chacune d’entre elles à un petit mot à vous murmurer. Elles aimeraient que vous vous souvenez d’elles, et que vous oubliez qu’elles ne sont pas que des leçons d’école.


Salut les enfants !

Je suis la lettre « A », je suis le guide de l’alphabet, mais pas le chef. Il n’y a pas de chef dans le pays magique des lettres. Je fais partie de la famille des voyelles.

Je suis assez fière, moi la lettre A, de me trouver dans les mots comme : « maman », « papa ». Parce que je sais que ces mots sont importants pour vous, les enfants.

Mais je suis une lettre taquine et avec mes amis les lettres « M » et « N », on aime faire des tours de magie. Ainsi, lorsque je leurs donne la main, je disparais, on ne m’entend plus, car je deviens le son « an ».

Je suis aussi une lettre très coquette. J’aime les chapeaux. J’en ai pas mal dans ma garde-robe. Regardez comme je suis élégante : à - â - ä - ». Plus sérieusement, on appelle mes chapeaux des accents.

Je vais vous laisser avec la lettre « B »
Hello les enfants !

Comment allez-vous ? Je me présente donc, je suis la lettre « B ». Toujours derrière la lettre « A ». Je fais partie de la famille consonne.
Si la voyelle « A » est contente de se trouver dans les mots : « papa », « maman », moi je suis toute aussi fière de me trouver dans les mots : « bébé », « biberon », « bisous ». Des mots vraiment tout doux.
Je peux continuer avec les mots : « beau », « belle » oui je suis une lettre, qui aime la « beauté ».

Avant de vous quittez, les enfants, il faut que je vous parle du jeux que l’on a instauré, nous les lettres. Notre jeu consiste à dire le plus de mots possible ou nous nous trouvons. La lettre qui en dit le plus, a bien entendu gagné. J’avoue que cela nous amuse bien.

La lettre « C » s’agite et me fait des signes. Je lui laisse la place.


Coucou les enfants !

« coucou », j’adore ce petit mot. Je pense que vous aurez compris pourquoi ?! Comme ma copine, la lettre « B », je suis une consonne. Mais contrairement à mes autres camardes, je vais vous donner qu’un seul mot, ou là encore, je m’y trouve deux fois. Mais, je vais vous donner qu’un seul mot. Là encore, je m’y trouve deux fois. Je vais vous laissez le deviner, un peu comme une charade. Je commence les indices. C’est un petit mot que vous aimez prononcer lorsque vous n’aimez pas quelque chose. Bien souvent vous faites une moue et vous dites « beurk » et vous ajoutez « c’est caca ». Je vous l’accorde ce n’est pas très distingué. Mais sortant de vos petites bouches, les adultes sourient.

Je suis aussi une lettre musicienne et farceuse. Lorsque je joue de mon instrument, la cédille, j’imite ma copine la lettre « S ». Je sème la confusion. Encore une fois, ce n’est pas très sympa, pour vous, les enfants. Je vous fais souvent faire des fautes d’orthographe. J’en suis désolée.
Bonjour les enfants,

Je suis la lettre D et moi aussi comme la lettre « B » et « C » je fais partie de la famille des consonnes. Il faut dire que nous sommes une famille nombreuse, contrairement aux voyelles.

Si je vous dis « doudou », « dodo », deux mots aussi très doux et que vous aimez beaucoup, surtout les tous petits.

Mon amie la lettre « A » est le guide de l’alphabet, et bien moi, avec la voyelle « O », nous sommes la première note de la gamme de musique. Nous sommes le « do ». Je peux dire que je suis une lettre musicienne, mois aussi. Avec la lettre « C », nous pourrions monter un orchestre toutes les deux.


Eh oh ! Les enfants ! Comment allez-vous ?

Je voulais commencer par une exclamation ou je suis la vedette « Eh ! ». Cependant, je suis surtout fière, moi la lettre « E » de me trouver en tête du mot « Enfant ». Seulement comme mon amie la lettre « A », on ne m’entend pas. En effet, je deviens le son « EN » lorsque la lettre « N » me donne la main. Un même son « AN » et « EN » mais écrit de deux manières différentes. Encore une règle d’orthographe, qui n’est pas faite pour vous faciliter la vie… N’Est-ce pas les enfants ?

Comme la lettre « A », je suis une voyelle et je suis toute aussi coquette que ma camarade. J’aime me coiffer et changer de caquettes. Regardez un peu… è - é - ë - ê - Ne suis-je pas élégante ?
Les enfants, il y a un mot que vous adorez et ou je fais des effets de coquetterie, c’est le mot « Père Noël », voyez un peu comme je fais des effets de casquette dans ce superbe nom !

Je suis aussi une lettre très philosophe et l’on me trouve dans une phrase mythique entre autre : « Être ou ne pas être… ». Lorsque vous serez plus grands, on vous demandera de penser sur cette phrase. « Être », petit mot et pourtant si grand dans sons sens.

Je vous laisse être sage sur ces derniers mots….


Salut, les enfants !

Je suis la lettre « F » et je suis une consonne. Je suis un peu « fofolle ». Hé hé… Vous avez compris l’astuce ? Je ne suis pas non plus facile à écrire, surtout, lorsque vous faites vos premières lignes d’écriture.

Je suis aussi bien installée au milieu du mot « enfant ». Je suis à la tête des mots suivants : « Feu », « Fou », « Folle », « Folie ». Des mots assez impressionnants. Je vais continuer à m’amuser sur les mots, comme toutes mes copines. Je termine donc en disant, que je suis « Fière » du mot « Fierté ».

Enfin, les enfants, avant de nous quitter je vais vous demander de me donner la main pour que nous puissions faire une superbe farandole.


Coucou les « Gamins » !

Moi, aussi je sais le faire, commencer mon message, par un mot ou je me trouve en première place. Attention, les enfants, c’est avec tendresse que je vous appelle ainsi.

Je fais partie de la famille des consonnes. Je suis une lettre malicieuse. Je dirais même rusée. Eh ! Oui, les « gamins », j’ai le pouvoir de changer de son. Tenez, je vais justement employer un mot, ou j’ai ce pouvoir, c’est un peu comme un tour de « magie ». Vous voyez, j’y suis et pourtant, on ne m’entend pas. Pas mal non ?

Encore une chose qui ne vous aide pas pour apprendre l’orthographe. Mais la langue française à ses exigences, mais c’est une si belle langue.


Bonjour les enfants !

Je suis le « H » et je suis une consonne. Je peux être « muet » ou « aspiré ». Encore une petite complication. Mais, je laisse le soin à vos professeurs d’école de vous expliquer cette petite astuce.

Je suis la première lettre du mot : « Histoire », « Histoire de France », « Histoire de contes de fée ». Joli mot, je trouve.

Je suis assez complice avec ma copie la lettre « C », ensemble nous formons le son « CH ». Et nous sommes à la tête de mots comme : « Chien », « Chat », « Cheval », amis des « Hommes ». Ce dernier mot n’est il pas grandiose ? Je suis assez contente de ma conclusion.


Coucou les enfants !

Je suis le petit « i ». Je fais partie de la famille des voyelles. Mon amie la lettre « G » dit qu’elle a le pouvoir de changer de son, mais je l’arrête gentiment, en lui disant que c’est moi, qui ait le sacré pouvoir de faire du « G » en « J ». Je ne suis pas la seule à faire ce tour de passe-passe. Mon amie la lettre « E » en fait tout autant.

Toutes deux nous appartenons à la famille des voyelles et même si nous ne sommes pas une famille nombreuse, nous détenons le pouvoir de faire tourner nos copines les consonnes en bourrique. On aime les taquiner. Hi hi hi…

Moi aussi, je fais des effets de chapeaux : « ï - î - i ». Ma garde-robe est un peu plus réduite, que certaines de mes amies.

Pour conclure, voilà les mots ou je me sens bien à l’aise : « sourire » « rire » et « biscuit ». Comme je vous l’ai dit, je suis une lettre taquine, coquine et gourmande. Je crois que l’on se ressemble,  n’Est-ce pas les enfants ?

Voilà, « Eh nini, c’est fini ! ».


Hey, les enfants !

Je suis la lettre « J », je fais partie des consonnes. Je me considère un peu comme la grande sœur de la lettre « i ». Je la surveille un peu. Comme elle vous l’a raconté, elle est assez espiègle, alors de temps en temps, je me sens obliger de lui montrer l’exemple.

Cela ne veut pas dire, que je n’aime pas m’amuser. Bien au contraire ! Je suis tout de même la première lettre des mots comme : « Jouets », « Jeu », ainsi que du verbe « Jouer ». Des mots que vous aimez, les enfants et qui vous donnent beaucoup de « Joie ».

Il y a un mot ou je ne suis pas très à l’aise, c’est le mot « Jalousie ». Sans doute, parce que c’est un vilain sentiment.


Salut, les cops ! Ou « Kops » (comme vous voulez).

Je me présente donc, je suis la lettre « K ». Je fais partie de la famille des consonnes. Je suis une lettre assez biscornue, vous ne trouvez pas ? Je partage mon son avec mes copines « C » et « Q ».

Sans le vouloir, nous sommes des lettres, qui compliquons la vie des petites écoliers. Souvent lors d’une dictée, vous nous confondez. Nous sommes pas très gentilles, pourtant on vous aime bien. L’orthographe n’est pas une discipline facile, je vous l’accorde, les enfants.

Maintenant, je vais vous parler d’un mot ou je suis à la tête. Donnez-moi la main, les enfants, car avec ce mot nous allons prendre la route et faire une long voyage. Le mot dont je veux vous parler c’est le mot « Kilomètres » surtout au pluriel. On traverse les mers, les océans, les continents. On arrive dans un pays que l’on appelle l’Australie. Et, dites-moi les enfants ! Quel animal se trouve dans ce pays ? Comment se nomme, cet animal qui fait des bons ? Ah ! Je crois que vous avez deviné ? Cet animal est donc le « Kangourou ». Là, encore, je suis la première de ce mot.

Après cette escapade rapide, les enfants, je vous laisse continuer votre visite dans le pays magique des lettres.

Bonjour les enfants,

Je suis la lettre « L ». Je me sens avoir des ailes, un peu comme le son de ma lettre. Je vous fais remarquer les enfants, que je me trouve au milieu de ce joli mot. Je me trouve aussi, en tête du mot « Lettre ». J’ai oublié de vous dire, que je fais partie de la famille des consonnes.

Mes amies disent que je suis poète. Cela me convient. Je suis assez fière d’être la première lettre des mots comme : « Liberté », « Libre ».

Je suis une lettre « libre » et vagabonde. A tire d’ailes, j’avale aussi des kilomètres et je voyage en toute « liberté ».
Sans me vanter, je crois en effet, que j’ai une âme de poète… « lol ».

Et ce petit et nouveau mot, ou je suis au début et à la fin, n’est-il pas rigolo ?


Coucou les enfants !

Je me présente, je suis la lettre « M ». Je fais partie de la famille des consonnes.

Certains d’entre vous, aime m’appeler la lettre à « trois ponts ». Cela me plait bien. Les petits lorsque vous voulez m’écrire, bien souvent, vous faites des ponts en plus ou en moins. C’est l’apprentissage de l’écriture.

Je donne la main à mon amie la lettre « A » dans le mot « maman ». Toutes les deux, on s’y retrouve deux fois. Nous sommes très heureuses d’être à la naissance de ce mot.

Les copines disent aussi, que je suis une lettre romantique, car je me place dans les mots : « amour », « amitié » et le verbe « aimer ».

Moi aussi, j’aime voyager et les vacances. Je suis la première lettre des mots : « Mer », « Montagne ». Des lieux agréables pour se reposer. Je suis même à l’aise à la campagne. Car vous savez imiter le meuglement de la vache en insistant bien sur mon son « Meeuuuuh ».


Salut les enfants !

Quel moulin à parole, mon amie la lettre « M ». On se ressemble un peu toutes les deux. Je suis plus modeste, je n’ai que « deux ponts ». Bien entendu, je fais partie de la famille des « consonnes », ou vous avez vu je me répète trois fois dans ce mot. Ce n’est pas rien !

Je me répète aussi deux fois, dans un tout petit mot, que vous aimez bien les enfants. Surtout, lorsque vous avez décidé de contrarier, gentiment papa et maman. Vous allez vitre trouver, lorsque je vais vous dire, qu’il se compose seulement de trois lettres. Je m’y trouve au début et à la fin. C’est…. C’est « NON » petit, mais il a un sacré pouvoir aussi puissant que le « OUI ».

Contrairement à ma copie la lettre « M », mon message sera plus court. Sans doute, le nombre de ponts oblige ?!…
Bonjour les enfants !

Je suis déjà deux fois dans le mot « Bonjour » bien que l’on ne m’entende pas. Lorsque je m’associe avec certaines lettres, moi aussi je change de son. J’appartiens à la famille des voyelles.

Je suis toute ronde et je roule comme une boule. Je suis toute rigolote. Vous aimez m’écrire, car je suis toute simple. Pas besoin de fioriture avec moi. Bien que de temps en temps, j’aime porter des chapeaux : « ô - ö », mais rien de très compliqué.

Souvent avec mes copines les voyelles « i » et « u », nous aimons nous donner la main pour former les sons « oi » et « ou ». Toutes les trois, nous avons donné naissance au petit mot, qui est le contraire de « non ». C’est donc « Oui ». Quel engagement ce « oui » ! Quel force ! Et je suis à sa tête ! J’avoue je suis un peu fière.

Pour terminer les enfants, je vous demanderai de ne pas me confondre avec le chiffre « zéro : 0 » même si je termine son orthographe.
Salut, les enfants !

Me voici le « P », je suis une consonne. J’aime me répéter deux fois dans le mot : « Papa ». Pour vous les enfants, il est aussi important que le mot : « maman ».

Je suis à la tête du mot « Patauger », chose que vous aimez faire à la « Plage » ou sous la « Pluie ». Vous avez remarqué, je reste toujours en tête de ces deux mots.

Je suis une lettre sage car je suis pour la « Paix » et le « Partage ». Des mots qui ont du mal, aujourd’hui, à trouver leur « Place ». Dans quelques temps, ce monde vous appartiendra et je suis sûre que vous saurez donner tout leur sens à ces deux mots. Il faut dire aussi, que j’aime me trouver au centre du mot « espoir ».

Je terminerai, en vous disant que je suis aussi une lettre globe-trotter. Je suis tout de même la première lettre du mot « Pays » et je peux vous dire, que j’en ai visité de nombreux.

Sur cette bonne « Parole », je vous laisse continuer votre voyage au « Pays magique des lettres ».


Coucou les enfants !

Quel message, vais-je vous laisser ? Tout d’abord je vais vous dire que je fais partie de la famille des consonnes.

Je suis une lettre qui se pose beaucoup de « Questions ». Je suis à la tête de tous ces petits mots : « Qui - Que - Quoi- Quel - Quelle - Quand ». Le point d’interrogation est mon complice. J’aime sa forme dégingandé et tortueuse. « Qu’en pensez-vous ? » « Il est amusant, non ? »

Maintenant vous commencez à comprendre, pourquoi je suis bien à ma place dans le mot « Question ». J’apprécie de me trouver au milieu du mot « Pourquoi ».

J’ai un autre complice, c’est le point d’exclamation « ! » Car je m’exclame aussi beaucoup. Je vous une exemple : « Quel beau chapeau ! », « Quelle belle journée ! ». Autant le point d’interrogation à une forme qui s’en va dans tous les sens, autant le point d’exclamation reste droit dans ses bottes. Vous ne trouvez pas, les enfants ?

Enfin de compte, je vous en ai raconté des histoires. « Que » dois-je faire maintenant ? Peut-être vous « Quitter » ?

Bonjour les enfants, ou peut-être bonsoir ?…

Après tout, vous pouvez lire nos histoires, le soir, bien installés dans votre lit. Juste avant de fermer les yeux et faire de beaux « Rêves ». Vous avez vu comme je suis une consonne astucieuse, pour arriver à vous parler du mot que j’adore : « Rêve » « Rêver ». Quel bonheur !

Je peux me présenter à vous en vous donnant un de mes traits de caractère. Je crois que je suis une lettre qui aime la famille. C’est très important pour moi. Il faut vous dire que je me trouve dans les mots : « Père », « Mère », « frère », « soeur », « grand-père », « grand-mère ».

Par contre, je ne suis pas une lettre très bavarde. Et peut-être que vos paupières sont déjà lourdes. Vous êtes peut-être prêts à faire de doux « Rêves ».

Salut les enfants :

Moi, je suis une consonne. Je suis la consonne qui « siffle » comme un « serpent ». Je ressemble à ce reptile visqueux, qui répugne la plupart d’entre nous. Pas très « jojo » pour moi.

Je me console avec le mot « Soleil ». Là, je brille de mille feux. Il y a aussi le mot « Soir ». « Soir d’hiver », « Soir de Noël » avec le « Sapin de Noël » et tous vos jouets à son pied. Enfin, les « Soirs d’été » avec mille étoiles dans le ciel.

Comme mon amie la lettre « R », je suis à la tête d’un mot, qui entraine votre imagination. Il veut dire à peu près la même chose que le mot « rêve ». Il s’agit du mot « Songe ».

Enfin, je suis la première lettre d’un mot qui fait vibrer vos papilles. Oui, c’est l’ingrédient principal des bonbons que vous adorez « Sucer ». C’est le mot : « Sucre ». Attention, les enfants ne pas en abuser.

Salut les jolies « petites têtes » ou encore les « Titous »

Je suis une consonne et comme vous le voyez, j’invente des mots doux pour vous. Bien entendu, il faut que j’en sois la reine.

Si non, moi aussi je suis une lettre, qui aime la famille comme la lettre « R » et je me répète deux fois dans les mots : « Tonton », « Tati », « Tata ».

Je me répète aussi deux fois dans le prénom d’un héros de dessin animé, que vous aimez beaucoup. C’est un poussin jaune, qui se moque toujours de « Gros Minet ». Je sais bien que vous trouvez « Titi ».

Je suis aussi une lettre qui aime la vie bucolique, je suis la première lettre d’une jolie fleurs : « Tulipe », mais aussi d’une petite plante qui porte bonheur, le « Trèfle ».

Je pourrais aussi vous parlez du mot « Travail », mais c’est beaucoup moins amusant. Alors, je vais en « Terminer » là.


Bonsoir les enfants, « Turlututu, chapeau pointu »

Je vous dit n’importe, je me lâche un peu… Car, je suis l’avant dernière voyelle à me présenter. Comme vous l’a dit ma famille, nous ne sommes pas nombreuses, mais nos amies les consonnes sont là pour nous entourer et nous protéger.

Les enfants, vous ne trouvez pas que je ressemble à mon amie la lettre « n », mais moi, j’ai la tête en bas.
La tête en bas et malgré tout dans les « nuages ». J’aime ce mot… Il me fait rêver, même si je ne suis pas la première lettre de son orthographe. Je suis aussi discrète dans les mots : « lune », « pluie ».

Vous pourriez penser que j’aime l’immensité du ciel et vous auriez raison. C’est aussi pour cela, que mes amies me disent étourdie.

Je vais vous dire encore un petit « truc » à mon sujet. Mon son « U », répéter plusieurs fois a le pouvoir de faire avancer les chevaux : « U - U - U- ». Je ne sais pas pourquoi ? Sincèrement, je me demande si les cavaliers se servent encore de ce « truc ».


Coucou, les enfants !

Je suis une consonne. Je suis une lettre qui vous donne du fil à retordre, lorsque vous apprenez à m’écrire et encore ne parlons pas de ma voisine le « W » !…

Je me trouve, entre autre, à la tête de deux mots : « Voix » et « Voie ». Deux mots qui sonnent de la même façon, mais ne veulent pas du tout dire la même chose. Encore, les petits caprices de la langue française !

Il y a donc la « Voix ». Votre « voix » lorsque vous parlez, chantez ou encore criez. Je termine l’explication de ce mot par un exemple : Ce chanteur a une belle « voix ».

Ensuite il ya la « Voie » qui désigne un passage, une route, un chemin. On peut dire : le chemin de la liberté, mais je trouve cela plus poétique de remplacer le mot « chemin » par « voie » : La « voie » de la liberté. C’est juste question de goût ou plutôt de style.

Les enfants, je veux terminer par le plus fabuleux des mots. Lui aussi est très petit, lui aussi se compose de trois lettres et pourtant il est la naissance du monde. C’est le superbe, le grandiose, le magnifique mot : « VIE ».

Je ne pouvais pas faire autrement que de conclure par ce mot.
Salut, les enfants,

Lorsque je me regarde, je trouve que je suis une drôle de consonne. Comme la dit ma voisine de droite, nous ne sommes pas facile à écrire. En ce qui me concerne, je ne suis pas non plus facile à trouver dans la langue française.

Je me considère plutôt comme une lettre anglo-  saxonne. En effet, je suis beaucoup plus utilisée dans la langue anglaise. Vous allez me trouver dans le mot comme : « Week-end » par exemple.

Toutefois, je suis la locomotive du mot « wagon ». Moi aussi, je peux partir aux quatre coins du monde et laisser aller mon âme de globe-trotter.

Les enfants, mon message n’est pas très long, mes origines anglo-saxonne obligent….


Bonjour, les enfants !

La lettre « w » dit qu’elle est une drôle consonne et moi que devrais-je dire ?

En fait, j’ai ma propre théorie sur nous, les dernières lettres de l’alphabet. Nous nous trouvons à la queue parce que justement, nous sommes de drôles de lettres, avec de drôles de formes et de drôles de sons. Nous ne sommes pas non plus, les plus utilisées de la langue française.

Je peux vous parler de théorie ou encore de théorème parce que j’ai plus ma place dans les matières comme l’algèbre ou la géométrie qu’au sein de la langue française. Dans ces matières, je ne suis plus une lettre, mais une inconnue. Avec mon amie la voyelle « Y » nous nous perdons dans les problèmes d’équations. Vos professeurs vous apprendrons à nous retrouver. Il n’y a pas que la langue française qui a ses pièges…

« Oyé, Oyeeerrr » les enfants,

Me voici donc la dernière « voyelle », je suis même dans ce mot. Je suis une lettre « Rock and Roll », je fais partie du mouvement des « Yéyé ». Quelle époque !

Il est donc normal d’être une lettre anglo-saxonne aussi, comme mon amie la lettre « W ». Je suis plus utilisée dans la langue de Shakespeare, que celle de Molière.

Je suis une lettre « Rock and Roll », mais aussi matheuse, comme vous l’a expliqué ma copine la lettre « X », nous aimons jouer à cache-cache. Dans ce rôle de matheuse, vous allez très vite me trouver « ennuyeuse » lorsque vous calerez sur une équation à deux inconnues. Et vous avez vu, je suis bien installée au milieu de ce dernier mot… Pour conclure, je suis une lettre « Mystère »…


Bonjour les enfants,

Je suis dons la dernière lettre et la dernière consonne. Je fais aussi quelques apparitions dans la matière « Maths », comme mes précédentes copines. Pas très marrant, je vous l’accorde !

Mais, je suis avant tout le « Z qui veut dire ZORRO ». Ah ! Ah ! Elle n’est pas belle cette phrase ? Elle en a vu passer des générations !

Et, sans vouloir me vanter, je trouve que j’ai un peu l’âme de « ZORRO ». Eh oui ! Car si mon amie la lettre « A » est notre guide, moi, je ferme la marche et je regarde toujours derrière moi, pour voir si rien ne vient perturber l’alphabet. Je joue le rôle de protecteur, comme « ZORRO ».


Voilà, les enfants, nous avons terminé notre voyage au Pays des Lettres. J’espère qu’il vous a plu et que vous êtes prêts à me suivre pour d’autres aventures avec les « Comptines de Mapie ».